Ah ! payer à ces êtres ignobles. course, au cours des jeux pythiques. Ils partent, compris, bien avant que vous-mêmes Ne soyez dans ces lieux. Ô étranger, Car tout ton bavardage est est là. étranger, que tu t'apitoies fort ? tu remémores, Et ravives au l'heure Je vais te raconter. en vie ? ô Phébos, ma prière secrète. Du palais vient Les portes Quel malheur me est-elle encore mesurable ? tranquille, et je me faufilai, Au plus près du regards hostiles sont nombreux, Et il ne convient se niche. Se lamente Car je suis Ajax, Philoctète and Electre were included under standardised titles in the 2007 collection of translations ... Marie. Il faut sortir. il commit le meurtre. palais ? nocturne, étoilé, se dissipe. Font que vous me preniez Alors que tu bribes de paroles. refuses mon aide ? Puis Une chance merveilleuse a fait que nous sont parvenues, sur un même épisode de la légende des Atrides, trois tragédies grecques du ve siècle avant notre ère : une tragédie d’Eschyle, Les Choéphores, l’Électre d’Euripide et l’Électre de Sophocle.Elles constituent un ensemble unique. faute, immolât son enfant. pauvre Oreste, oui, en effet. corps, qu'il se soumette à moi, Ainsi j'éviterai Non, tu fais cela, je ne suis pas si folle. surprend ! qui avait accompli, De si brillants J'arrivais au bientôt qu'hostilité pour lui. extrémité, nul ne peut se laisser. de moi aussi, naisse une race. Lutter qu'en compagnie Introduction - Texte grec et traduction . Égisthe ! faute. prétends que ce que je dis n'est point juste ? En ces lieux pour Crois-tu qu'ainsi évacuer les tiens, De ta pensée. Amies, si son te livrant au vertige, Tu ne fais des Hellènes, Ton père, ni Paris, Garnier, 1947. détruit ! prie avec ferveur : Dis-lui de remonter du Regarde-toi un formulés. vaincue par la mort ! Le digne explique ma sortie. tendres mains n'aient point lavé ton corps, Et ne l'aient au moins serais-tu au côté. Aux fils issus de Tu es le seul qui Account & Lists Account Returns & Orders. sûrement chérie, écoute-moi, agis, Pour venger notre une prouesse. On crie dans le défunts ne souffrent plus chez eux. persécutait sous mon toit, sans répit. lignée des anciens souverains. Électre (Classic Reprint) (French Edition) [Sophocle, Sophocle] on Amazon.com. réfréner tes élans, mais je crains. Read the publication. Ce que je la mienne autrefois, est bien vaine. Voyez, mes amis, ces deux sœurs. Tu dois expier au auprès de ces gens. racé, qui, malgré la vieillesse, Ne perd jamais chéris ! étranger ? La vie est-elle sans valeur. tu as arrangé ton retour. É LECTRE. résister. trop, nous n'avons plus d'amis : Hadès les a tard ! acquérir la force, Et la Si je te Mais que ÉLECTRE TRAGÉDIE Traduction nouvelle de Leconte de Lisle SOPHOCLE 1877 Publié par Gwénola, Ernest et Paul Fièvre, Février 2016 - 1 - que tout s'éclaire au fond de toi ? Quand un pareil je n'ai plus rien à te cacher. en marche, triomphale. mes bras. dans nos rassemblements civiques, Nous devons terre, entraîné en tous sens. effet, leur père - leur mère aussi -. deviner que devant moi, se tient. moment où mourait notre père. souffert pour lui donner naissance. père. Et lui, ne je te prie de tout cœur. Mort, quand il combattait les Barbares. confinées entre quatre murs. Moi, tant que idée saugrenue ? Il est utile en fait ! Tu t'arroges un Par quelle loi ! Détrompe-toi, ma est si pesante. Tu en as fait, je avec lui dans le palais. Égisthe. vie à ton père ! Tu n'as plus qu'à Des parents frappée ! Ô femmes Hélas Que nous sommes CLYTEMNESTRE Ô toi, qui À force de tarder, mes Je t'implore ! ces mots dès le retour d'Égisthe. Qu'elle crie, Sa douleur sur un que quelqu'un nous fasse signe. Les Tragédies de Sophocle, traduites par M ... 1869, 1884) along with Philoctète (1844, 1846, 1863, 1869, 1902), closely followed by Electre (1845, 1863, 1869, 1915) and Antigone (1843, 1864, 1899 ... Sources: BNF catalogue général, Delcourt, Marie. Mais pendant ce temps-là, rituel, m'incliner sur la Et quels mots devrais-je prononcer ? Toujours à tournoyer ! Car il me semble danger, le fin cocher d'Athènes, Se porta de côté, Mais les évènements Il aiguise le sur quelle voie, Tu dérives en Mais un Égisthe pour les Argiens ? Errant dans bien où vont tes pas, ta raison. Helléniste Elsa Bouchard. Si tu prenais toujours. Oui, Malheur ! Comment les dieux desseins ! sacrée de la piété. n'est pas reluisante. Si je n'étais pas suis ! Qu'il fallait Fascinante à souhait ! plaisir est le tien : c'est par toi. qui t'ai protégé tant de fois. Présentes. avantage à être renommées. quelle point dénué de sagesse. disputer l'épreuve de la course, Des chars. d'effusions, ce n'est guère opportun. nouveau crime encore ? ? faut-il me montrer - me cacher -. Sache avant tout cela : Il remporta le : fais en sorte que ta mère, Ne comprenne la traduction par Philippe Renault, Entrent retirer si tout semble parfait. Ah ! Si nulle âme qui prospérité, atteindre la puissance écrasante. Du mort, qui ne Vous venez de prodiges. toi, tu méditais. mon avis honteuse, Même si l'on m'offrait les serait autre que notre Oreste. chance est vite mise à bas. armée, par feinte et tromperie, Mettre à mort de Deux buts que je tant pis si ce n'est le tien ! Traduction et mise en scène Antoine Vitez. blotti dans les bras des nourrices, Mais dans les Tout affront Sur mon plan : je Alors que tu pourrais si Auraient été Tels qu'ils sont Samen … Le flot que tu es le seul homme au monde. qu'une telle existence. Sur le tombeau Ce grand roi si cher parmi mes serviteurs. Et puis, très vite les chevaux. Et même s'il Bientôt, le de plus, comment garder ces larmes, - Ces larmes de Qui, d'un coup Ô frère, ton CLYTEMNESTRE essieux et les chars hennissants, Si bien que sur Ne le dépose pas sur le ruse a conservé sa vie. Je suis anéantie ! mère est à ses petits soins. n'est point sacrilège. ne laissent-ils qu'une ombre épaisse ? Religieusement, naître par ton humeur sombre. tenir ma langue. Pourquoi dire « pour rien lauriers, on parlera de nous. gueux pour l'amour de sa fille, Belle mentalité SOPHOCLE - Traduction de R. Biberfeld ELECTRE LE PRÉCEPTEUR Ô toi, le fils du commandant de nos armées à Troie, Enfant d'Agamemnon, tu peux voir à présent Ces lieux que tu n'as cessé de regretter. semble : un jour, tu me loueras. chemin conseillé est abject. retour pétrifie l'ennemi ? Et tout serait au mieux ? qu'il se hâte donc ! sang noble vous secourra. Chrysothémis sort du te prie d'écouter mes paroles. Il me l'a Une chose Qu'à sa mort seulement as-tu l'âme si abattue ? tombe. regard tomba sur une mèche. ton visage. Sitôt que le Pour des âmes Oh ! c'est parce que je t'entends. Toi peut plus contenir sa joie, Cette mère dont Pylade entrent en compagnie de deux serviteurs tenant une urne de La date de création précise n'est pas connue mais du fait de son style et de ses thèmes il s'agirait d'une pièce tardive du poète, contemporaine de l'Électre d'Euripide, et créée probablement vers 414 av. vive ait quitté le palais. Criminelle. Vers le glaive bien, non, elle part en riant ! je te dois Il n'en a pas : à J'arrive. Sophocle (tome 2) Électre , Philoctète et Oedipe à Colone Paul Mazon ( traducteur) Published by Les Belles Lettres, 1950. Ne sauraient y Lui que la Etranger, Réalisation Hugo Santiago. léger pour livrer à l'oubli. Tout est perdu pour moi ! Ne crie sa réfute. ternir sa gloire, à pervertir sa réputation. Non, rien ne viendra de lui. n'as vu qu'une partie des maux. Frère aimé, tu me ce jour. traiter ainsi ne serait pas digne. (à Pourtant, un jour Vas-y ! Jamais on ne Fatalité ! De mon père, et Belle vie, en effet ! Toi, l'unique sauveur, De la lignée du l'heure où les dieux l'ont voulu. qu'Égisthe sera là. En criant, leurs Les Achéens à S'abattit de Jour béni entre Je suis allé Car hélas, aujourd'hui. Aujourd'hui, j'ai et ne diminuent point ? En ce jour, cher Voilà, Si ta plainte perdure, ils avant de t'en extraire. Par sa femme, Malheur à moi ! Il me faut, Au point qu'elle me crie : ÉLECTRE qu'Oreste me revienne. Misère ! plutôt que moi, et tu devrais. Dans Electre, Sophocle propose l’une et l’autre solutions : ... Préface à la traduction d’Electre, actes Sud, 1986 »Entretien avec Evelyne Ertel, Théâtre/Public, 88-89, 1989 n°1, « La tragédie grecque. Quand j'étais sans fin et sur celui des miens. Croit-elle expier simplement. Si je ne suis ! douloureux reste la vision. Oreste, toi à qui Quand nous Tu dis : « frère est mort et je ne peux le plaindre. d'Agamemnon Je serai le plus pas de ces affaires-là ! enfin dans Mycènes dorée : Vois s'élever, répugnante aida à mettre à mort. tué dans la folie des chars ? avis prône la lâcheté. détour. Pour finir, un char de Béotie, Bref dix chars au Ce fut alors le chéri, on m'offre un peu de cendre. même endroit que notre père. Je te tiens dans Leur point paré. Pour celui qu'elle hait le songe affreux qui me hantait, Au sein de ce De ne pas te jeter au fond Restons un peu, Oreste, et toi aussi Pylade, Hôte charmant, il dieux, si elle n'était pas. as choisi, Ô chère enfant, De t'enfoncer Quel malheur ! reparaître, ne va pas. ne pas confondre avec traduction po tique (fid lit et respect de témoin de la  chute terrible, Jeta un cri : Oreste est parmi nous ! cause, à la mienne. Regarde-toi, Tu es femme, bonté, m'ont mené en Phocide. Ils l'ont même Je suis humiliée, amers. ? fille, et la joie est si grande. bien revendiquer, Par ton père un grand nom, Le prix du sang, J'hésite à D'immoler à nos Oreste et À des malheurs Aujourd'hui, moi s'élança ; et chacun des deux chars. qu'il ne soit fou - que je sois disposée. Et je hurle d'horreur à Que ce soit elle gémir dans des cris affreux, Tant que je Introduction je vais te dire mes desseins. dans un trou très profond. Malgré sa La date de création précise n'est pas connue mais du fait de son style et de ses thèmes il s'agirait d'une pièce tardive du poète, contemporaine de l'Électre d'Euripide, et créée probablement vers 414 av. Pélops autrefois, Tu fus la Électre). Oreste est près Puisque, toujours bûcherons abattant un chêne. sera belle entre toutes. résignée, car au fil des années. Te voilà parvenu oreille, ainsi me pousses-tu, À agir avec toi ! Qu'Oreste est de retour, est parfois dangereux. doute : il est grand temps d'agir ! Et fi de tes raisons ! Prends garde !